Ollivanders

Pour garder la logique du monde de JK. Rowling, le système d'achats de baguettes reste particulier : La baguette choisit l'acheteur, et non l'inverse.

Donc, il vous suffit de poster votre arrivée dans le magasin, et je vous proposerai une baguette.

A vous de décrire ce qui se passe lorsque je vous la prête, et si ça ne va pas, je vous en propose une autre, et ainsi de suite.

Une baguette coûte 20 Gallions.

Je me trouvais sur le chemin de traverse avec dans la main, ma lettre d'admission à l'école de sorcellerie Poudlard, je serrais la lettre tellement fort quelle se froissait légèrement mais je n'avais pas envie de la perdre car sur celle ci se trouvait la liste de se que je devais avoir en ma possession avant que je puisse me rendre au collège de magie. La liste n'était pas très longue mais elle comptait tout de même pas mal d'objet. J'avais besoin d'une baguette magique car s'en elle je ne pourrais s'en doute pas me servir de mes pouvoirs. Devant moi se trouvait une boutique où, dans la vitrine, se trouvait un seul et unique bout de bois qui devait être une baguette magique. je poussa la porte de la boutique et j'attendis silencieusement que quelqu'un se dirige vers moi.

Je me trouvais sur le Chemin de Traverse, en compagnie de mon frère qui s'était proposé pour faire mes achats avec moi. Je sortais juste de Chez Mme Guipire, et j'avais presque tout . Ne manquait que la baguette. Je proposais à mon frère qu'on se retrouve au Glacier , comme ça il ne se sentirait pas trop à l'écart. Je poussais la porte d'une main. En entrant, je fut émerveillée par toutes les baguettes que je devinais dans leur étui.
Je m'annonçai en disant:

- Houhou.. Ya quelqu'un?
J'attendis que quelqu'un vienne.

Entendant une voix provenant de la boutique, je quittai la réserve pour m'attarder vers les deux clients qui m'attendaient sagement. La boutique venant de rouvrir, je n'avais pas terminé de ranger correctement toutes mes baguettes, mais j'étais content de recevoir mes premiers clients qui étaient des enfants, certainement venus pour la baguette qui leur est requise afin d'entrer dans une école de sorcellerie. Après tout, je ne voyais que cette raison. Je tirai deux boites à l'aveuglette et en posai une devant chaque client.

Jeune homme... Bois de frêne, 30 centimètres, Crin de Licorne. Essaie-là.

Mademoiselle... Bois de Rose, 24 centimètres, Cheveu de Vélane...

J'attendais impatiemment que les baguettes soient essayées, pour autant que cela soit spectaculaire.

Sa faisait à peine quelques secondes que je me trouvais à l'intérieur de la boutique de baguette et la porte du magasin s'ouvrit à nouveau sur une jeune fille qui devait elle aussi être là pour acheter une baguette, se qui était une chose logique vu qu'il n'y avait que cela à vendre dans la pièce. Un homme finit par ce diriger vers nous avec dans les mains une multitude de petite boite rectangulaire. Il prit une boite et en sortit un bout de bois qu'il me tendit en disant :

"Jeune homme... Bois de frêne, 30 centimètres, Crin de Licorne. Essaie-là."

La baguette était claire sans doute à causse du bois qui n'était pas un bois dont la couleur était foncé. Je la pris et la secouait légèrement mais il ne se passa rien jusqu'au moment où une bonne vingtaine de boites qui se trouvait sur les étagères tombèrent en s'ouvrant sur le sol.

Faisant virevolter les boites jusqu'à leur place à l'aide de ma baguette magique que je venais de faire apparaitre, je me tournai alors vers le jeune homme; lui arracha sa baguette de ses mains, et la remis dans sa boite, que je rangeai sans tarder.

Non, non. Certainement pas. Oh, et pourquoi pas...

Alors j'attrapai une boite dont je lus brièvement la gravure et la donnai au jeune homme. J'affichai un sourire en attendant impatiemment que le client sorte la baguette de sa boite, puis déclara ;

Bois de cerisier et Crin de licorne à nouveau. 34 centimètres.

Une ou deux minutes après mon entrée, je remarquai dans la pénombre un garçon.
N'ayant pas très envie d'engager la conversation, je l'ignorai superbement, et me concentrai sur ce qui se déroulai derrière le comptoir. Un homme semblait venir vers la, et je distinguai dans ses mains udes espèces de batons. Je devinai qu'il s'agissait la des baguettes. L'inconnu se matérialisa devant moi, et me tendit une baguette, en me la décrivant:
-Mademoiselle... Bois de Rose, 24 centimètres, Cheveu de Vélane...
Ayant enregistré qu'il fallait l'essayer comme il l'avait dit au jeune homme, je tendit la main pour la prendre. La baguette était foncée. La main gauche tendue, je fis un geste en direction d'un pot de fleurs, posé sur une table quelconque. Il se brisa, et je reposai la baguette sur le comptoir.
jetant un coup d'oeil au garçon, je vit que la baguette qu'il avait dans la main deux secondes plus tot était posée sur le comptoir elle aussi. J'attendis que le propriétaire propose une autre baguette.

Je pointai ma baguette sur le pot de fleurs et lança un sortilège muet, qui réparai automatiquement le pot de fleurs brisé. Je me tournai vers la fille, lui pris sa baguette, et l'échangeai contre une boite qui se trouvait rangée derrière moi.

Bois de saule, 26 centimètres. Plume de Focifère. Souple et Rapide. Très pratique pour les Enchantements. Cela devrait être la bonne, d'après moi.

J'attendis patiemment le geste du jeune homme ainsi que celui de la demoiselle qui, tous deux, venaient de recevoir une nouvelle baguette.

la baguette que me tendis le vendeur de baguette était plus longue et plus foncé que la première baguette que j'avais prise en main mais l'élément qui se trouvait en son cœur était le même à savoir un crin de licorne. Je pointais ma baguette sur le vendeur qui traversa toute la pièce jusqu'à atteindre le mur se trouvant à l'autre bout. Je contournais le comptoir au pas de course pour arriver le plus vite possible jusqu'au vendeur et tout en m'accroupissant, je pris la parole :

"Sa va Monsieur? Je suis désolé, je ne l'ai pas fait exprès je vous assure."

J'attendis une réaction de sa part pour savoir si tout allait bien bien qu'il risquait d'avoir mal au dos.

Tout émoustillé, je me relevai.

Ça va, ça va... J'ai l'habitude... C'est sûrement une farce faite par ces maudits mangemorts... Ils ont sûrement lancé des maléfices sur les trois quarts des baguettes qui se trouvent dans ce magasin.

Accompagnant le jeune homme jusqu'au comptoir autour duquel nous nous trouvions précédemment, je repris mes esprits et fis apparaitre une baguette dans ma main que je tendis au jeune homme.

Je garde toujours des dizaines de baguettes différentes sur moi, toutes très utiles. Celle-ci est une baguette en bois de Vigne, 22 centimètres. Elle contient un nerf de coeur de dragon et aucun maléfice n'a été jeté dessus. Elle a été gardée par mes soins. Elle doit être parfaite. Essaie-la.

Le vendeur se releva en me disant que la baguette avait sans doute été ensorcelé par les mangemorts, je ne savais pas de qui il parlait mais je me tu. L'homme me tendit une baguette qu'il avait sur lui en me confirmant que celle ci n'était pas ensorcelé. Je m'en saisi mais je ne ressenti rien et j'avais un peu peu de faire un mouvement avec la baguette car je ne voulait pas renvoyer le vendeur au tapis. Je retenais mon souffle pendant que je bougeais mon poignet et je sentis une sorte de chaleur m'envahir bien que je ne savais pas d'où cette sensation venait. Je fixais le vendeur en silence en attendant qu'il m'explique se que cela était.

Je regardai le jeune homme, fasciné, et à l'aide de l'une de mes baguettes, rangea toutes les boites qui ne se trouvaient pas à leur place en les faisant virevolter comme par magie.

Je rangea ma baguette, et me mis à observer la baguette que le jeune homme tenait entre ses mains.

1997. La baguette d'Hermione Granger, une élève qui est décédée lors de sa septième année à Poudlard, il y a cinq ans... Vous devez sûrement la connaître, elle était la meilleure amie du célèbre Harry Potter. La baguette que vous tenez entre vos mains est une copie de la baguette de cette élève... Quoi qu'il en soit, elle est parfaite pour vous. Cela vous fera 20 Gallions, s'il vous plait.

Je ne savais rien de la jeune femme qui semblait avoir une baguette identique à la mienne avant de mourir et je me promis d'y remédier dés que je le pourrait sans doute à la bibliothèque de l'école de magie car j'étais convaincu qu'il y en avait une à Poudlard. Je trouvais le fait que ma baguette ressemblait à celle de cette Hermione étrange comme si j'étais lié à cette jeune personne et je me demandais bien pourquoi cette baguette m'avais choisi moi plutôt que quelqu'un d'autre. Je sortis d'une de mes poches la sommes d'argent que le vendeur m'avais demander et une fois la baguette payé je sortie de la boutique en fixant le bout de bois que je tenais à la mains.

J'entendis un bruit à l'arrière boutique, mais ne fit aucun geste pour aller aider le garçon qui avait propulsé le propriétaire à travers la pièce, car je voulais sortir au plus vite de cette boutique où l'air m'étouffait. Je reportai mon attention vers Ollivanders, qui revenait avec une autre baguette:

-Bois de saule, 26 centimètres. Plume de Focifère.
Souple et Rapide. Très pratique pour les Enchantements. Cela devrait
être la bonne, d'après moi.
Je prit la baguette de la main gauche, et comme tout à l'heure, fis un geste . La baguette s'échappa de mes mains et se dirigea vers l'arrière boutique. Je sentis le découragement s'emparer de moi. J'avais besoin d'air frais. Cependant, j'avais aussi besoin d'une baguette. Alors, je pris mon mal en patience.

(Je sais pas si on peut choisir la baguette mais j'ai écrit dans ma pres: Sa baguette est en bois de bouleau, fine et légère, avec du ventricule de dragon et une plume d'hippogriffe...)

Il fallait s'y résoudre, la baguette qui avait guidé Arthur depuis une dizaine d'année vers la voix de la puissance avait été cassé, détruite. Et ceux il y a quelques mois, à la fin de l'année dans l'école d'auror comme le voulait le mangemort : "On repart de zéro à la fin de ces trois années d'études ! On reprends de nouvelles bases et quoi de mieux qu'une nouvelle baguette ? Allez, cassez-moi ça !". Il avait enchaîné avec un rire et les avait obligés à les casser. Wills avait hésité quelques secondes, mais quand l'homme en noir avait levé sa baguette en le regardant, il l'avait brisé et l'avait jeté à terre. C'est ce jour-là qu'il avait vu la difficulté à briser un bout de bois de chêne qui contenait un os de strangulot nouveau né rigide; et aussi celui-ci où il s'était coupé la paume de la main avec une lourde écharde.

Il avait donc choisit ce jour-ci, jour où sa blessure avait complètement disparut, pour aller en racheter une au chemin de traverse. Pour ça, il avait prit de la poudre de cheminette de son bureau et avait voyagé jusqu'à celle d'Ollivender où il était apparu devant une élève et le vendeur - il avait aussi pu voir une baguette foncer vers l'arrière salle comme un bout-de-feu chinois en pleine charge au vol. Il n'avait pas prit plus de deux secondes pour regarder l'enfant : *Impatiente... quelle gamine futile...*, avait-il pensé en s'approchant d'Ollivender.

- Bonjours monsieur, j'ai besoin d'une baguette. La mienne s'est brisée...

Cependant, voyant l'impatience de la jeune fille, il ne pu lui dire une remarque :

- Calmez votre impatience; l'air a beau être lourd, si vous vous dêpechez la baguette le sentira. Et je doute que ce que vous voulez est une baguette qui réagira au quart de tour à chaque instant... C'est incontrôlable, je le sais bien...

Le ressortit de l'école d'Irlande le savait bien, il avait fait sa thèse de fin de première année sur l'esprit des baguettes.

[HS : Lucy, on ne choisit pas sa baguette et il est dit dans le premier poste. Donc tu ne peux pas la choisir. De plus une baguette contient qu'un ingrédient et non deux, donc ça ne pourra être faisable; désolé]

Tandis que toute mon attention était concentrée sur Ollivanders, j'apperçus un éclair vert de la Cheminée. Je compris que ce devait etre un client qui arrivait par poudre de cheminette. Je le saluai et l'examinai. Il dégageai une aura qui imposait le repect de cet homme. Je sentit son regard s'attarder un peu sur moi, et un frisson parcourut mon dos. D'ailleurs, l'homme arrivé de Poudre de Cheminée me dit sur un ton que je trouvais dur:

- Calmez votre
impatience; l'air a beau être lourd, si vous vous dêpechez la baguette
le sentira. Et je doute que ce que vous voulez est une baguette qui
réagira au quart de tour à chaque instant... C'est incontrôlable, je le
sais bien...
Je fut surprise de ce conseil. Mais tenta de l'appliquer. Je calmais mon impatience, en pensant à un chocolat chaud qui m'attendait à la maison. et pensai aussitot aux bras de ma mère et mon père. aux conseils de mon grand frère. Je sentit mon impatience s'envoler, telle une fumée.
Je regardai l'homme, en le remerciant du regard.

(HS: C'est pas grave ^^)

J'avais assisté à toute la scène entre le professeur et la jeune élève. Commençant à m'impatienter, je posai deux nouvelles boites sur le comptoir. L'une devant le professeur, et l'autre devant la jeune fille qui avait peur de casser quelque chose à nouveau.

Jeune fille, voici une baguette en bois de Rose, contenant un ventricule de dragon. Elle mesure près de 29 centimètres.

Je me tournai alors vers le professeur.

Ceci est une copie de votre précédente baguette. Vous ne devriez avoir aucun soucis, sauf si vous souhaitez en avoir une autre. Celle-ci est en houx et contient un étrier de gobelin. Il me semble que c'est la bonne baguette, non ? Elle mesure 25 centimètres.

Mais encore une fois, mon attention fut détournée par Ollivanders et avait posé deux baguette sur le comptoir. Il m'en proposa une:

- Jeune fille, voici une baguette en bois de Rose, contenant un ventricule de dragon. Elle mesure près de 29 centimètres

Il dit quelque chose à l'hommre mais je n'entendit pas, trop occupée à prendre précausieuesement la baguette de bois de rose, foncée comme la première. Je la pris dans la main gauche, étant gauchère, puis je me dis que je devrais surement l'essayer dans l'autre main.
Je fit le geste, en visant le pot de fleurs que j'avais cassé et qui était réparé. Elle ne m'allait toujours pas... Je reposais la baguette pour le troisème fois sur le comptoir.

Le chemin de traverse était un lieu que je connaissais plus que bien car je venais ici, en compagnie de mes parents au moins une fois par semaine pour y acheter des ingrédients pour potion car mes parents travaillant tout deux dans le médicale dans le monde des sorciers fabriquaient pas mal de potion mais cette fois ci nous étions sur le chemin de traverse pour que je fasse mes propres achats car j'allais bientôt faire ma rentrée à Poudlard. J'avais entendu parler de cette école depuis que je suis en couche culotte et j'avais attendu pendant des années l'arrivée de ma lettre d'admission. Le premier achat que je fis était celle de ma baguette pendant que ma mère allait chez l'apothicaire chercher les ingrédients dont nous avions tout les deux besoin. Dans la boutique se trouvait deux personne, une jeune fille et un adulte. Je m'avançais à leur côté et j'attendis mon tour.

*Nina Line n'était venue qu'une seule fois ici, au Chemin de Traverse. Pour acheter ce dont elle avait besoin pour ces cours à Poudlard. La seule chose qui lui manquait était sa baguette. ces parents lui avait montré, où elle pourrait l'acheter. La même ambiance sinistre, qui pesait à la gare était présente. Elle se dirigea vers la boutique qui se nommait Ollivanders. Elle entra, et vit des centaines des baguettes. Elle fit un tour sur elle même, pour tout contempler. Elle se rapprocha du comptoir et attendit derrière un jeune homme son tour. En observant autour d'elle. Elle vit Lucy, la jeune fille qu'elle avait rencontrée dans la train. Elle lui fit un signe de tête pour lui dire bonjour. Cette dernière était entrain de choisir sa baguette.*

Trois clients se tenaient alors devant le comptoir. Tous étaient des enfants, certainement des élèves. Je posai alors une nouvelle baguette devant la jeune fille qui était là depuis près d'un quart d'heures.

Cette baguette... Bois de saule, 25,6 cm, souple et rapide... Plume de phénix. C'est une copie de la baguette de Lily Evans Potter, vous devez sûrement savoir qui c'est... Une copie parmi tant, mais j'espère que vous serez digne, jeune fille, de faire de cette baguette une grande arme tout comme un puissant bouclier. Elle devrait être parfaite pour une élève comme vous.

Je m'adressai alors à la cliente qui venait d'arriver, lui posant une baguette devant elle.

Bois d'acajou, 33,5 centimètres, chair de Troll des Montagnes. Essayez-là.

Je me tournai alors vers le jeune homme qui venait d'arriver et lui posai une boite devant lui.

Bois d'If, 21 centimètres. Elle contient un ventricule de dragon.

Le vendeur finit par venir me donner une baguette qui était plutôt jolie mais lorsque je la pris dans ma main, elle en sauta directement comme ci elle ne voulait pas rester avec moi. Pourtant je n'avais pas l'intention de lui faire mal mais juste m'en servir pour faire de la magie au sein même de poudlard. Je savais que je ne pourrais pas faire de la magie à la maison car mes parents étaient très strict la dessus je ne pourrait utiliser ma baguette sous leur toit que lorsque j'aurais atteins mes dix sept ans se qui ne serais pas pour tout de suite car je devais d'abord faire sept années d'études pour y parvenir.

Je rentra dans la boutique, et m'approcha du comptoir. Je regarda toutes les personnes présente dans le magasin, et salua ceux qui croisa mon regard. Je me tourna vers le commerçant et commença.

-Bonjour, je vient acheter ma baguette, je ne suis pas expert en la matière, mais tous les sorciers de ma famille possédé une baguette avec une plume de Phoenix, je ne sais pas si cela peut influencer votre choix, je préfère seulement vous le dire.

Je mis une main dans ma poche de veste. Un sourire se dessina sur mes lèvres, et je posa un bras sur le comptoir pour m'appuyer et faire comme chez moi.

-Si vous pouviez faire assez vite, cela m'arrangerai j'ai encore quelques achats à faire assez rapidement. Merci.

Dit-je d'un ton assez ferme, sans trop être dans l'ordre, je ne voulait pas vexé le commerçant exerçant son métier comme il le pouvait.

*Le vendeur, s'adressa à Nina Line. Il lui donna une baguette. Il lui demande de l'essayer. La jeune ne comprit pas comment on pouvait essayer une baguette. La jeune fille hoche tout de même la tête. Elle prit la baguette dans les mains. Quand celle-ci lui glissa violemment des mains. Nina Line essaya de la rattraper, mes ses doigts se refermèrent dans le vide. Elle alla chercher sa baguette qui se trouvait par terre au pieds des clients. Elle la ramassa, mais celle-ci fila encore une fois, mais cette fois-ci elle se posa sur le comptoir. Cette baguette commencer un peu à énerver Nina Line. Elle se redirigea vers le vendeur.*

"Je ne sais pas ce qui se passe, mais je n'arrive pas à la garder dans les mains."

*Dit-elle en désignant la baguette.*

La jeune fille remerciait Arthur du regard puis essayait une nouvelle baguette - celle-ci n'avait pas produit l'effet espéré et ne s'était pas animée. Le vendeur lui remettait donc une nouvelle baguette, celle de Lily Evans. Wills la connaissait de nom, elle avait été la mère de jeune Harry Potter qui avait voulu, selon les rumeurs, épousé Ginny Potter. Arthur l'à connaissait pour avoir passé toute sa scolarité avec elle dans le Poudlard d'avant - quoi qu'elle avait disparue pour sa dernière année sans explication. Dans tous les cas, Arthur ne pu retenir un rire en murmurant un "Bonne chance...". Il fallait dire qu'elle était morte à vingt-ans et quelques.

Il finit cependant par essayer sa baguette. Le vendeur avait d'ailleurs précisé que s'était la copie de la sienne. Wills mit quelques secondes à se demander si il devait la prendre ou pas. Il fallait dire que le mangemort de l'école d'auror avait voulu qu'il la casse pour repartir sur un nouveau départ et ne pas lui obéir signifierait pour Arthur avoir détruit la preuve de son enfance pour rien. Par contre, « récupérer »cette baguette pourrait être un plus pour le professeur, connaitrant son usage, ses forces et points faibles.

Arthur prit donc la baguette, et il se sentit réchauffer à nouveau comme il ne l'avait jamais été depuis une dizaine d'année, et reposa sa baguette sur le comptoir. Il n'évita ensuite pas le bras du professeur de sortilège quand il se cambra pour parler au vendeur :

- Je vais la prendre, elle me convient. Mais... changer l'élément et le bois dans vos registre... Je ne voudrais pas qu'on sache en quoi elle est faites... d accord ?

Puis le professeur fouilla dans sa poche et donna les vingts galions sur le comptoir et attendit la réponse du marchand.