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 Chroniques de Stefan Copyfield

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Stefan Copyfield
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Stefan Copyfield


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Fiche sorcière
Apte à torturer : Oui
Statut de sang : Sang pur
Niveau de sorcellerie : Sorcier(e) légendaire

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MessageSujet: Chroniques de Stefan Copyfield   Chroniques de Stefan Copyfield EmptyDim 23 Jan - 23:53

Les chapitres ne seront peut-être pas dans le bon ordre de déroulement. D'solé !


' Chapitre 1 : Souvenir en cendres '

Los Angeles. Une pitre ville des États-Unis, isolée par ce que l'on raconte de l'extérieur. Les gens disaient que Los Angeles était une ville dangereuse. D'autres disaient que c'était un lie magnifique. Pour moi, aucune des ces descriptions n'étaient valables. Pour moi, Los Angeles était l'enveloppe d'un souvenir. Ce n'était pas la première fois que j'y venais. Quand j'étais gosse, je venais ici une année sur deux avec mes parents, car mon père était né ici. Je me trouvais devant la porte d'une grande maison entourée des tons verts d'un petit jardin brillant et abattu par la pluie battante, venant du ciel dont le gris s'étendait apparemment sur toute la ville. Le levai la main, enfouie dans la manche de mon gros pull, et murmurai quelque chose contre le marbre du mur.

Alohomora.

Un flash illumina les indénombrables gouttes de pluie qui ne cessaient de s'éclabousser sur l'herbe du jardin. Il me suffit alors de pousser la porte pour que mon champ de vision puisse s'élargir au-delà d'un simple mur. Il faisait sombre. La nuit allait tomber dehors, mais s'était comme si la nuit était présente dedans. Étrange. Je fis un pas et pénétrai dans un atmosphère aussi sombre que glacial, où les pluies battantes et les cieux enragés n'étaient plus. Quelle était cette étrange atmosphère ? J'hésitai à faire un autre pas. Levant à nouveau ma baguette, je me rendis enfin compte que l'odeur de cette maison m'était familière. Je ne me souvenais pourtant pas du jardin, mais l'odeur... C'était comme si elle était enfouie en moi, et que l'atmosphère des lieux et les sentiments de mon subconscient ne faisaient plus qu'un.

Lumos.

C'était étrange. Ma baguette projetait peu de lumière. Et pourtant, la puissance habituelle de mon sortilège était nette, indiscutable. Je m'étais peut-être mal concentré en lançant le sortilège de lumière. Ou alors, l'obscurité des lieux était plus forte qu'habituellement. L'obscurité battrait-elle la lumière ? Cet endroit était très sombre, très repoussant aussi. Il faisait aussi froid au dehors qu'au dedans. Je levai ma main gauche et poussai la porte derrière moi afin que la pluie ne pénètre pas dans l'appartement. La porte de ferma d'un bruit sec. On n'entendait même plus le bruit de la pluie ou des orages. Le silence était total. Deux chemins s'ouvraient à moi ; un passage dont l'obscurité m'empêchait de voir le bout ; des escaliers tout sauf rassurants. Mon instinct me conduit vers le côté de ma baguette. Je me tournai alors vers la droite et avançai quelque peu.

*Lumière... Lumière.*

L'obscurité dévorait peu à peu la lumière que produisait ma baguette. Je m'efforçais d'actualiser l'intensité du sortilège pour ne pas finir dans le vide absolu qu'était l'obscurité, à couvert de rien. Le bruit de mes pas sur les marches des escaliers semblaient raisonner dans toute la maison, si l'on pouvait appeler cela une maison. Cela ressemblait plutôt à un manoir. Un manoir sinistre. je cherchais visiblement quelque chose. Moi-même je ne savais pas quoi, mais je savais que je devais me trouver là pour achever un arc qui me lancerait sur une ligne nouvelle. Une porte se trouvait devant moi. Mais j'ignorais ce qui se trouvait derrière elle. Au son qu'avait produit le toucher de ma main sur le marbre obscure de la porte, je pouvais remarquer que j'avais à nouveau à faire à une porte verrouillée. Je tapotai du bout brillant de la baguette magique que je tenais entre mon pouce et mon indexe, et il me suffit d'avancer d'un simple pas afin de me trouver dans cette nouvelle pièce, obscure.

Lumos Maxima.

J'y étais. Je voyais de mes yeux ce qui n'aurait dû être vu par personne en dehors des Mangemorts. Le grenier de mon père. Pendant quelques secondes, j'avais oublié pourquoi j'étais là. Il y a un an, j'ai assassiné mon ordure de père. Il y a un an j'ai frôlé la mort. Il y a un an j'ai fait face au Seigneur des Ténèbres, et j'ai été épargné. Il y a un an, le Lord m'a fait jurer de lui porter mon soutien, sans quoi je mourrais. Mais ce n'était pas tout. Le Lord m'avait murmuré quelque chose... Quelque chose qui ne cessait de me tracasser l'esprit. Il retenait mon oncle, ma tante, ma cousine et ma nièce. Les seuls membres de ma famille encore vivants. Cela faisait des lustres que je ne les avais pas vus. Mais il y a un an, j'avais juré qu'il ne me faudrait qu'un an pour oublier que j'avais eu un père. Ce père qui avait assassiné ma mère. Ce monstre. J'étais là pour brûler sa demeure. Je n'étais pas sensé entrer là, mais ma curiosité avait pris le dessus. J'avais simplement prévu, à l'origine, de passer dans la rue, incendier les lieux, et m'en aller.

Alohomora.

C'était ce que je pensais. Certes jusque là le sortilège marchait à merveille pour pénétrer dans les diverses parties du soi-disant manoir, mais cette grande armoire marbrée de noir, verrouillée, ne voulait pas s'ouvrir. Ce devait être quelqu'un de très puissant qui avait dû verrouiller cette armoire. Peut-être mon père... Ou le Lord. Quoi qu'il en soit, si une personne puissante verrouillait ce placard, ça signifierait qu'elle ne voudrait absolument pas que cette armoire soit réouverte par une autre personne que lui. Du moins par des personnes inférieures à lui. Si cette personne était mon père, ça voudrait dire qu'il ne voudrait pas que quelqu'un comme moi, quelque peu inférieur à lui, découvre son contenu. Il y avait alors deux choses à faire. Cette armoire devait sûrement cacher quelque chose qui alors serait invisible à l'œil nu. Quelque chose qui expliquerait en quoi cette armoire serait utile si quelqu'un comme le Lord parviendrait à l'ouvrir. Il fallait que j'essaie. Certes mon père était plus doué que moi en enchantements, mais il ne s'est peut-être pas concentré sur le camouflage, pensant que personne ne penserait à savoir si quelque chose était invisible.

Aparecium.

La lumière provenant de ma baguette ne cessait de s'affaiblir. La maison devait être noire en tout points. Dieu seul savait combien de victimes avaient dû être assassinées dans cette maison, notamment dans ce manoir. Lorsque je n'était qu'un enfant, avant même mon entrée à Poudlard, ma mère savait tout de mon père. Sauf deux choses. Ce qu'il faisait réellement dans la vie, et la réelle utilité de cette maison, plus particulièrement de ce manoir. Ma mère était Rédactrice à la Gazette du Sorcier, et gagnait un salaire minable. Mon père ramenait beaucoup d'argent chaque semaine, et nous faisait croire qu'il travaillait au Ministère de la Magie. Il gagnait un paquet, certes, mais il ne travaillait pas au Ministère de la Magie. C'était sûrement l'argent que le Seigneur des Ténèbres lui remettait pour le récompenser de ses piètres assassinats. A chaque fois que nous venions ici, à Los Angeles, pour les vacances, mon père faisait en sortes d'arranger la maison de sortes à ce que toute trace de Magie Noire disparaisse. Ce manoir était vide, et même cette armoire n'y était pas. À mon avis, une fois les vacances terminées, il se rendait rapidement à Los Angeles pour réarranger la maison comme elle était aujourd'hui.

« Armoire à expériences ».

« Armoire à expériences ». C'était ce que l'écriture précédemment camouflée sur la porte verrouillée de l'armoire dévoilait. Je n'étais pas très impressionné, mais il restait à savoir ce que contenait cette armoire. Peut-être sa dernière expérience. Mais que voulait réellement dire "expérience" ? Il créait des sortilèges dans cette armoire ? Il fallait que je sache. Mais je ne pouvait utiliser directement le sortilège de déverrouillage sur cette armoire. Il fallait d'abord l'affaiblir. Pourquoi ne pas changer la matière de l'armoire ? Je suis sûr que mon père n'avait pas pensé à ça en verrouillant l'armoire. Je relevai ma baguette, la rapprochai tout doucement de l'armoire, jusqu'à ce que le bout blanc et peu lumineux de ma baguette touche la porte de l'armoire.

Duro Alohomora.

J'avais enchainé les deux sortilèges. L'un permettant de transformer le marbre en pierre, et l'autre de déverrouiller la porte dont la matière était à présent complètement métamorphosée, ce qui avait dû affaiblir la puissance du verrouillage. Alors, j'entendis un clic. L'armoire était enfin déverrouillée. Je mouvementai ma baguette ; la porte de l'armoire suivait le mouvement de ma baguette magique. Elle s'ouvrait, lentement, peu à peu... Et lorsque l'armoire fut assez ouverte pour que je puisse voir ce qu'il y avait dedans, toute source de lumière dans la pièce avait disparu. Je ne voyais rien. Je sentais les ténèbres m'envahir. Puis je sentais quelque chose. Un mauvais pressentiment.

Lumos.

Lorsque la lumière fut, soudain, derrière moi, apparurent trois détraqueurs sortant de nullepart. Ils étaient monstrueux, et cela faisait très longtemps que je n'en avais pas vu d'aussi affreux. Ils étaient très grands, et envahissaient toute la pièce de leur aura noire. Je n'avais pas le temps de me retourner vers l'armoire pour voir ce qu'il y avait dedans. Il fallait que je combatte. Et il fallait que j'en finisse vite si je ne voulais pas avoir la visite surprise de mangemorts quelconques. Je fronçai les sourcils, serrai les dents, pris ma baguette à deux poings, et me concentrai le mieux possible.

Spero... Patronum... Spero... PATRONUM !

Une lueur aveuglante jaillit de toute ma baguette et envahissait toute la pièce. Cela durait quelques secondes. Après quoi, lorsque j'ouvris les yeux, toute trace de magie noire ou d'ennemis avait disparu dans la pièce. La personne qui avait verrouillé cette armoire, qui devait sûrement être mon père, avait sûrement pris le soin de programmer l'invocation de détraqueurs si un jour un mage blanc venait à déverrouiller cette armoire. Je pus enfin me retourner. Il faisait nuit dehors. Et malgré que la magie noire de la pièce avait disparu, il n'y avait que très peu de lumière. Je n'hésitai pas à réutiliser ma baguette avant de constater ce qui se trouvait dans la mystérieuse armoire.

Lumos Maxima.

Une femme était allongé contre le mur de la grande armoire. Elle devait avoir environ la trentaine, pas moins. Elle avait les yeux fermés, et d'après mes souvenirs, je ne la connaissais absolument pas. Pourtant, elle avait un visage familier. Je dévoilai alors son identité en révélant la mystérieuse écriture qui planait à l'entrée de l'armoire.

« Phoebe Stevens ».

Stevens ? Mais... C'était la mère de Lucas Stevens, mon brillant élève ? Mais oui ! C'était pour cela que son visage m'était famillier. C'était la mère de Lucas Stevens, un élève sorcier orphelin n'ayant pas connu ses parents. Je n'y croyais pas. Je me mis à l'examiner sans attendre. Cette femme était dans le coma, à coup sûr. Elle avait les mêmes caractéristiques de blessure que Nina Line, élève étant à l'infirmerie à New Poudlard. Ce devait être le même sortilège qui avait été lancé. Il fallait que je ramène cette femme à New Poudlard pour la faire examiner par Sam. Avec un peu de chance, cette femme n'était pas encore morte, tout comme Nina.
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MessageSujet: Re: Chroniques de Stefan Copyfield   Chroniques de Stefan Copyfield EmptyMer 26 Jan - 15:47

Chapitre un terminé ! (je supprimerai ce message Chroniques de Stefan Copyfield 21984)
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